Transport
Mon petit avis perso
Le bus
Le réseau de bus est assez fourni pour rendre accessible la plupart des sites à des prix défiants toute concurrence et sans réservation. Pour les sites comme Río Celeste, où aucun transport public n'arrive, il est souvent possible de réserver des navettes via les hôtels alentours.
La seule vraie difficulté du voyage en bus, c'est qu’il faut souvent repasser par San José, où il n’y a pas de gare routière centrale : chaque destination ou presque est assurée par une compagnie différente, qui a son propre terminal et qu'il faut donc trouver. Heureusement, Internet existe. Mieux vaut quand même appeler avant le terminal pour vérifier les infos, et en particulier les horaires.
La seule vraie difficulté du voyage en bus, c'est qu’il faut souvent repasser par San José, où il n’y a pas de gare routière centrale : chaque destination ou presque est assurée par une compagnie différente, qui a son propre terminal et qu'il faut donc trouver. Heureusement, Internet existe. Mieux vaut quand même appeler avant le terminal pour vérifier les infos, et en particulier les horaires.
La voiture
Même si ce n'est pas indispensable, comme partout, louer
une voiture facilite la vie mais coûte cher. Quitte à louer une voiture, il faut absolument
réserver un 4x4 (plus exactement, une voiture haute) pour pouvoir atteindre
certains parcs comme Rio Celeste, Monteverde, Guayabo, Tortuguero, etc. Dernière chose, autant se faire à l’idée : la plupart des voitures de location ont des boitiers
automatiques.
Conduire en soi ne pose pas de problème particulier, même si on est
plus sur des conduites à base de dépassements hasardeux, que ce soit par la
droite ou sur ligne continue, en ville ou au milieu d’un virage de montagne.
Attention tout de même aux trous sur la route, que les locaux évitent à coup de
grandes embardées et qui peuvent vite mettre à l’épreuve les amortisseurs de la
voiture et le dos de ses occupants.
Embouteillages et autres joyeusetés
Ne jamais sous-estimer les temps de trajet et se
fier plus ou moins à Waze, Google Maps ou autre pour les évaluer. D’abord parce
que beaucoup de routes sont des routes de montagne qui tournicotent, avec pas
mal de camions ou de bus et avec peu d’espace pour dépasser pour les gens sains
d’esprit. Sans oublier que les derniers kilomètres vers les parcs nationaux
sont souvent des pistes. Selon les cas, on peut difficilement dépasser les 10
ou 20 km/h. Enfin, un embouteillage est très vite arrivé. Autour de l'agglomération de San José au
sens large, c’est plus ou moins systématique, surtout aux heures de pointe.
Mais même dans des zones moins denses, les routes n’ayant souvent qu’une voie,
le moindre véhicule bloqué au milieu de la chaussée et c’est le drame.