Parque Nacional Manuel Antonio

Manuel Antonio - Playa


Mon petit avis perso

LE parc incontournable de la côte Pacifique pour tous les amoureux de faune sauvage.

Plage de Manuel Antonio

En vrac, nous y avons vu des paresseux, des iguanes, des singes, des crabes Halloween, des chauves-souris, des ratons-laveurs, des coatis, des toucans, un caméléon. Sincèrement, pour avoir visité le parc avec et sans, le guide apporte une sacrée plus-value. D’abord parce qu’ils ont un bien meilleur coup d’œil que le commun des mortels, mais aussi parce qu’avec leurs jumelles, on voit la cime des arbres et les animaux qui s’y cachent comme s’ils étaient sous notre nez.
Il y a une vingtaine de minutes de marche entre l’entrée du parc et les plages. Mais évidemment, à l’aller, on s’arrête toutes les 2 min pour voir un animal, donc il faut plutôt compter 1h. Les deux plages sur lesquelles on arrive sont tout simplement paradisiaques et il serait donc sacrilège de ne pas en profiter. Elles peuvent même très bien être le point final de la journée. Néanmoins, une fois passé la baignade, la coco-pétanque (pétanque où les noix de coco font office de boules) et après s’être bien doré la pilule, on peut aussi profiter du reste du parc. Plusieurs balades d’une demi-heure ou une heure valent le coup. S'il ne fallait en choisir qu'une, ce serait celle terminant au mirador de Playa Puerto Escondido qui offre un superbe point de vue sur la mer et est l’occasion d’être tout seul, à chercher les singes et les paresseux.


Conseils
Coco-pétanque à Manuel AntonioManuel Antonio est l’un des sites les plus connus du Costa Rica et la plupart des touristes s’y pressent. Le sentier principal ressemble un peu à une autoroute à touristes. Pour protéger le parc, le nombre d’entrées par jour est limité, ce qui permet que cela ne soit pas la grande foule à l’intérieur. Résultat, il vaut mieux arriver un peu tôt pour être sûr de pouvoir entrer. De toute façon, entre les animaux, les balades, la baignade et le repos du guerrier sur la plage, une journée entière n’est pas de trop.

Niveau logement, Manuel Antonio est un village sans grand intérêt mais reste pourtant une bonne solution. La ville la plus proche est à seulement quelques kilomètres et s’appelle Quepos. Elle traine une réputation peu flatteuse de ville un peu glauque. Sur une soirée c’est difficile d’être définitif, mais cela ne semble pas immérité.


Dernier passage : 2016
A débourser : 10$
Accessible en bus.
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